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Téléfilm Canada finance 17 longs métrages de langue anglaise dans le cadre du Fonds du long métrage du Canada

04 décembre 2009

Montréal, 4 décembre 2009 – Téléfilm Canada est très heureuse d’annoncer que 17 longs métrages en anglais provenant de toutes les régions du pays pourront aller de l’avant grâce à différents programmes d’aide à la production du Fonds du long métrage du Canada de Téléfilm, dont le Programme d’aide aux longs métrages indépendants à petit budget.

« Je suis ravi de voir que le portfolio de longs métrages nationaux va en se diversifiant », affirme Michel Pradier, Directeur, Financement de projets, à Téléfilm Canada. « Nous sommes heureux de soutenir des talents émergent aussi prometteurs à travers notre financement régional », conclut-il.

« Téléfilm est fière des projets nouvellement annoncés », a déclaré Stephanie Azam, directrice nationale, Longs métrages – Marché anglophone, chez Téléfilm. « Ces films reflètent une diversité de genres créés par des cinéastes de la relève et des cinéastes établis provenant de toutes les régions du pays. Nous sommes persuadés qu’un nombre impressionnant de Canadiens et de cinéphiles de tous les coins du monde verront et aimeront ces films. »


Fonds du long métrage du Canada – Projets nationaux

Beat the World (région de l’Ontario et du Nunavut; BTW Productions inc.; producteurs exécutifs : Alfons Adetuyi, Amos Adetuyi et Robert Adetuyi; scénariste/réalisateur : Robert Adetuyi; distributeur : E1 Films Canada inc.; investissement de Téléfilm : 3,2 millions $) nous fait découvrir trois troupes de danse – une latino-américaine, une européenne et une canadienne venant de Windsor, en Ontario – qui se préparent à participer au concours international Beat the World à Detroit. En plus des longues heures de pratique, les danseurs doivent surmonter différents problèmes personnels, comme des dettes de jeu et de difficiles ruptures amoureuses, et composer avec leurs propres ego. Dans l’ultime confrontation pour devenir les champions du monde, les espoirs et les rêves d’une vie sont en jeu, quand ce n’est pas la vie elle-même.

Fubar II (région de l’Ouest; FU2 Productions Ltd. et Cardinal Film 11 inc.; producteurs : Shirley Vercruysse, George Baptist, Jennifer Wilson, Michael Dowse, Dave Lawrence et Paul Spence; réalisateur : Michael Dowse; scénaristes : Dave Lawrence, Paul Spence et Michael Dowse; distributeur : Alliance Films inc.; investissement de Téléfilm : 1,9 million $). Dans cette suite à Fubar, les « métalleux » Terry et Dean en ont ras le bol de tirer le diable par la queue et décident de partir vers le nord pour faire de l’argent en travaillant sur les pipelines. Leur pote Tron leur trouve du boulot et bientôt, la vie sourit aux deux amis. Terry tombe amoureux de Trish qui travaille comme serveuse chez Peelrz. Mais lorsque Terry et Trish décident d’aller vivre ensemble, Dean ne peut se résigner à voir son meilleur ami troquer sa liberté contre une prison domestique. Dean commence à perdre les pédales et finit par détruire son amitié avec Terry. Il devra alors se battre pour les choses qui comptent le plus pour lui : la vie, l’amour, l’amitié et Noël.

Hockey: The Musical (région de l’Ontario et du Nunavut; Mulmur Feed Co. Ltd.; producteur exécutif : Richard Hanet; producteur : Michael McGowan; scénariste/réalisateur : Michael McGowan; distributeur : Mongrel Media inc.; investissement de Téléfilm : 2 245 753 $) raconte l’histoire de Farley Gordon, 17 ans, qui est tiré de l’ombre pour passer de légende du hockey de rue au premier choix potentiel au repêchage de la LNH en quelques semaines à peine. Le film met en vedette notre sport national sur une musique fantastique tout en racontant l’aventure de Farley dans l’univers parfois rustre du hockey junior A.

The Kate Logan Affair (région du Québec; Gala Films; producteur : Arnie Gelbart; scénariste/réalisateur : Noel Mitrani; distributeur : Les Films Seville inc./E1 Films Canada inc.; investissement de Téléfilm : 1,3 million $) raconte l’histoire de Benoît Gando, un homme innocent pris à tort par Kate Logan, une jeune policière, pour un violeur recherché. Craignant qu’il révèle son erreur à ses supérieurs, Kate tente de séduire Benoît qui succombe à ses avances. Mais cet innocent flirt prend une tournure inattendue et Gando réalise alors qu’il est pris dans un engrenage qui changera sa vie à jamais.

The Whistleblower (région de l’Ontario et du Nunavut; Gen One Films inc. en coproduction avec Barry Films GmbH (Allemagne), avec la participation de Voltage Pictures et Perfect Corporation; producteurs exécutifs : Amy Kaufman, Celine Rattray et Nicolas Chartier; productrice : Christina Piovesan; scénaristes : Ellis Kirwan et Larysa Kondracki; réalisatrice : Larysa Kondracki; distributeur : E1 Films Canada inc.; investissement de Téléfilm : 2 635 000 $) est un drame politique basé sur l’histoire vraie et déchirante d’une femme qui à elle seule tente d’obtenir justice au sein d’une organisation qui camoufle les crimes qu’elle est censée empêcher. 

Wrecked (région de l’Ouest; Wrecked Productions inc.; producteur : Kyle Mann; réalisateur : Michael Greenspan; scénariste : Christopher Dodd; distributeur : Alliance Films inc.; investissement de Téléfilm : 1 650 000 $). Un homme grièvement blessé est prisonnier d’une voiture accidentée dans le fond d’un profond ravin. Il a perdu la mémoire et il y a un homme mort sur la banquette arrière et un autre corps tout près du lieu de l’accident. L’homme devra trouver une façon de sortir de la voiture, découvrir son identité et surmonter d’énormes obstacles afin de pouvoir survivre.


Fonds du long métrage du Canada – Projets régionaux

The Future is Now! (région de l’Ouest; BFL, Future inc. en coproduction avec l’Office national du film du Canada (ONF); producteurs : Shirley Vercruysse, George Baptist (BFL, Future inc.) et Bonnie Thompson (ONF); scénariste/réalisateur : Gary Burns et Jim Brown; investissement de Téléfilm : 382 848 $). Une journaliste rencontre l’Homme d’Aujourd’hui, un Monsieur Tout-le-Monde qui a tourné le dos à la société et qui a perdu tout espoir dans l’avenir de l’humanité. La journaliste, alias la Femme de Demain, décide de prendre cet homme sous son aile dans le but de changer sa vision du monde. Pour y arriver, elle présente à l’Homme d’Aujourd’hui plusieurs des grands esprits de ce monde dans le domaine des arts et des sciences, dans l’espoir qu’il ouvre les yeux sur les possibilités que recèle l’avenir.

Rain Down  (région de l’Ouest; Rain Down Pictures inc.; productrice exécutive : Alyson Drysdale; productrices : Alyson Drysdale et Johanne Gregory; réalisateur : Garwin Sanford; scénariste : Alyson             Drysdale; nvestissement de Téléfilm : 249 000 $). Carla Springer, 28 ans, gagne difficilement sa vie sur son ranch en entraînant des  chevaux de reining et des cavaliers qui participent à des courses de barils. Grande, mince et taciturne, Carla a réussi à se protéger de tout contact humain significatif après avoir connu une enfance difficile et un divorce. Mais l’arrivée inopinée de sa nièce de 5 ans, qui a manifestement besoin de son aide, la réapparition de son ex-mari, un criminel, et les pressions du gouvernement qui veut l’exproprier de son ranch forcent Carla à faire face à son passé et à prendre des mesures radicales pour protéger ce qu’elle a de plus précieux, son univers qu’elle a construit avec tant de soin.
           
Red Coat Justice (région de l’Ontario et du Nunavut; Travesty Productions inc.; producteurs : Phillip Daniels et Michael Vernon; scénaristes : S. Wyeth Clarkson, Grant Sauve et Charles Johnston;  réalisateur : S. Wyeth Clarkson; investissement de Téléfilm : 612 500 $) est un Western qui se déroule en 1894 dans le territoire du Yukon du Canada juste avant la ruée vers l’or. Wade Grayling, un jeune officier de la Police à cheval du Nord-Ouest promu à une brillante carrière, est réaffecté de façon déshonorante dans le lieu le plus isolé du Yukon pour faire de l’arpentage pour une nouvelle garnison. Un jour, alors qu’il est en train de partager un repas avec le chef d’une petite communauté de pionniers russes, il aperçoit un cadavre suspendu à un arbre situé à proximité. Wade est alors plongé au beau milieu d’une guerre de l’opium avec un meurtre à élucider.

Stained (région de l’Ouest; Goonworks Films Ltd. et Angel Entertainment Corporation; producteurs exécutifs : Karen Lam et Bob Crowe; producteurs : Katie Weekley, Wally Start et Bob Crowe; réalisatrice/scénariste : Karen Lam; investissement de Téléfilm : 350 000 $). Isabelle et Jennifer sont des amies d’enfance. Lorsqu’Isabelle rallume la flamme avec un ancien amoureux qui s’était montré violent envers elle, Jennifer est la seule personne au monde qui peut la sauver. Mais Isabelle a-t-elle réellement besoin d’être sauvée? 

The Year Dolly Parton was My Mom (région du Québec; Palomar & Buffalo Gal Pictures; productrices : Barbara Shrier et Liz Jarvis; scénariste/réalisatrice : Tara Johns; distributeur: Mongrel Media inc. / Métropole Films; investissement de Téléfilm : 800 000 $) est une histoire de passage à l’âge adulte à la fois drôle et remplie de charme. Nous sommes en 1976. Elizabeth, une jeune fille de 11 ans tout ce qu’il y a de plus ordinaire vivant en banlieue de Winnipeg, découvre que toute sa vie n’est qu’un mensonge. Ne pouvant compter que sur son imagination et sur une planche de Ouija pour la guider, Elizabeth s’enfuit pour trouver sa véritable identité. Marion, sa mère adoptive, n’a d’autre choix que de partir à ses trousses. S’ensuit le périple cathartique d’une mère à la recherche d’une fille à la recherche d’une mère – les deux étant réellement à la recherche d’elles-mêmes.


Programme d’aide aux longs métrages indépendants à petit budget

Billy (région de l’Ouest; Winesto Films inc.; producteurs : Winston W. Moxam et Ernesto Griffith; réalisateur : Winston W. Moxam; scénaristes : Ernesto Griffith et Winston W. Moxam; investissement de Téléfilm : 15 000 $). Un jeune journaliste arrive dans une maison de retraite pour interviewer Billy, un Noir de 94 ans. Billy lui raconte sa vie mouvementée, se rappelant l’époque lointaine où il a quitté les États-Unis pour aller vivre dans le nord du Manitoba. Il se souvient de sa difficile existence de pionnier, du racisme dont il a été victime, de son amour pour une femme et de son don pour la photographie. Billy est l’histoire d’un homme qui a cherché toute sa vie à se faire accepter.

Excited (région de l’Ouest; Slewfoot Productions inc.; producteur : Bruce Sweeney; réalisateur : Bruce Sweeney; scénariste : Bruce Sweeney; investissement de Téléfilm : 200 000 $). Ce film porte sur la nature de la dysfonction sexuelle, les difficultés des relations intimes et l’interférence parentale non désirée. Kevin Staal, 36 ans, est un homme d’affaires prospère. Il est divorcé et célibataire depuis 8 ans lorsqu’il rencontre enfin quelqu’un qui lui plaît. Hayaam a 39 ans, deux diplômes et travaille dans un magasin de chaussures. Ils commencent à se fréquenter et les choses s’annoncent bien, jusqu’à ce que le problème sexuel de Kevin nuise à la relation.

Fathers & Sons (région de l’Ouest; Raven West Films Ltd.; productrice exécutive : Laura Lightbown; producteurs : Carl Bessai et Jason James; coproducteur : David Lee; réalisateur/scénariste : Carl Bessai; investissement de Téléfilm : 200 000 $). Fathers & Sons suit les vies des membres de quatre familles très différentes qui arrivent à un moment charnière dans leurs relations. Le film célèbre les liens imposés qui façonnent nos vies, les joies et les peines.

A Gun to the Head  (région de l’Ouest; ASAP Films inc.; producteur : Oliver Linsley; réalisateur : Blaine Thurier; scénariste : Blaine Thurier; investissement de Téléfilm : 100 000 $). Trevor, un criminel amendé devenu un époux blasé, quitte la soirée mondaine donnée par sa femme pour aller chercher du vin. Il rencontre son cousin Darren, un vendeur de cocaïne, qui l’encourage à faire sa tournée. Trevor replonge alors dans son passé sombre de drogue et de batailles de rue. Lorsqu’il apprend que la vie de Darren est menacée par un bandit du quartier, Trevor tente d’en arriver à une entente, pour finalement être abandonné par son cousin. Les hommes de main du bandit lui font savoir qu’ils vont tenir les invités de sa femme en otage jusqu’à ce qu’il leur amène Darren. Les efforts désespérés de Trevor pour arranger les choses ne font qu’empirer la situation, jusqu’à ce que l’inévitable se produise.

Modra (région de l’Ontario et du Nunavut; PUNK Films inc.; productrice : Ingrid Veninger; scénariste / réalisatrice : Ingrid Veninger; investissement de Téléfilm : 135 000 $), c’est l’histoire d’une fille et d’un garçon de 17 ans qui se retrouvent à la croisée des chemins. Le film capte la nostalgie et la confusion que nous ressentons tous à un moment précis de notre vie, lorsque nous ne sommes pas encore des adultes, mais que l’enfance est disparue depuis longtemps.

A Night for Dying Tigers (région de l’Ouest; Dying Tiger Films inc.; producteurs : Terry Miles et Sidney Chiu; réalisateur/scénariste : Terry Miles; investissement de Téléfilm : 200 000 $). En 24 courtes heures, Jack se voit condamné à cinq ans de prison. Ce soir, pour la première fois depuis la mort soudaine de leurs parents un an plus tôt, les membres de la famille se réunissent dans leur demeure ancestrale pour le dîner d’adieu de Jack. Ce qui débute comme une réunion polie, sinon joyeuse, où d’acerbes conversations se déroulent autour d’un bon repas, se transforme rapidement en un tourbillon moralement douteux de regrets, de revers et de révélations. Alors qu’ils se vident le cœur d’une façon mi-sauvage, mi-civilisée, ces personnages et les vérités derrière leur longue histoire de conflit et de tragédie se dévoilent lentement, d’une manière étonnante. A Night for Dying Tigers est un portrait sombre, sincère et révélateur d’une famille au bord de l’éclatement.


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Téléfilm Canada est un organisme culturel fédéral voué au développement et à la promotion de l’industrie audiovisuelle canadienne. Téléfilm offre un soutien financier au secteur privé pour créer des produits distinctement canadiens qui rejoignent un auditoire national et international. La Société administre aussi les programmes de financement du Fonds du long métrage du Canada, du Fonds canadien de télévision et du Fonds des nouveaux médias du Canada. Visitez www.telefilm.ca

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